Quelques caractéristiques

  • Situé à 25 km au nord-ouest du centre-ville
  • Hauteur 487 m
  • Superficie projetée du parc environ 750 ha (7,5 km²)

Carte du territoire

La carte ci-dessous démontre les limites projetées du parc. À ce jour, la Ville possède plusieurs lots et poursuit son processus d’acquisition. Dans le périmètre visé par la parc, plusieurs lots appartiennent à des propriétaires privés. Un récent transfert a permis à la Ville d’accroître le parc dans secteur du sommet. Cette dernière acquisition majeure lui permet de mettre de l’avant des projets d’infrastructures au sommet du mont Bélair.

La télécommunication

À partir du début des années 1960, le mont Bélair devient un lieu déterminant pour la télécommunication. Des installations s’implantent d’abord au bas de la montagne et apparaissent graduellement dans le secteur du sommet. Visibles de jour comme de nuit, les trois antennes au sommet caractérisent la région.

À gauche, une des premières antennes érigées au sommet. Cette structure est remplacée vers la fin des années 1990.
À droite, une tour appartenant à Bell Canada apparaît sur des cartes topographiques datée de 1961.
(Photos – Bibliothèque et Archives nationales du Québec)

Le lac Alain et ses environs

Désigné aujourd’hui comme étant le lac Alain, cette étendue d’eau située près du sommet aura porté plusieurs noms. Certaines personnes le nommait le lac Ferland. Cela s’explique, entre autres, parce que le lac était désigné par le nom du propriétaire des lieux.

En 1948, un chemin de terre se rend jusqu’au lac Alain. À cette époque, une barrière limite l’accès au domaine en bordure du lac. Durant plusieurs années, un gardien surveille le secteur été comme hiver. Les antennes de télécommunication ne font pas encore partie du décor. (Mosaïque d’orthophotographies de 1948)
Différents bâtiments existent à l’époque. On y retrouvait entre autres un chalet principal et une écurie.
(Mosaïque d’orthophotographies de 1948)